Conseil n°1 : Sélectionnez des appareils électriques peu gourmands en énergie
« Dis-moi quelle quantité d’énergie électrique tu consommes, je te dirai si je t’achète (ou non !) ». Telle devrait être votre devise chaque fois que vous faites l’acquisition d’un nouvel appareil électrique. Pour info, le budget énergétique consacré à « l’électricité spécifique » (c’est à dire à la consommation des appareils électroménagers, audiovisuels, bureautiques, d’éclairage, etc.) augmente d’année en année. Il se situe actuellement entre (2 500 et 3 500 kWh par ménage et par an (Source : Ademe).
Pour ne pas suivre cette tendance à la surconsommation électrique, une seule solution : privilégier les équipements peu énergivores. Comment se renseigner sur l’appétit de tel appareil électrique ou de tel autre ? Tout simplement en jetant un coup d’œil à leur l’étiquetage énergétique. Institué par la directive européenne du 22 septembre 1992, l’étiquetage énergétique opère un classement entre les équipements électriques sur une échelle de A à G, en fonction de leur plus ou moins grande consommation. En clair, un appareil qui consomme peu d’électricité obtiendra un « A » et sera estampillé d’une étiquette verte. Au contraire, un appareil très énergivore sera, lui, classé « G » et son étiquette énergétique sera rouge.
Le hic, c’est que les appareils qui consomment le moins ne sont pas forcément les moins chers (c’est même tout le contraire !). Et le surcoût qu’ils occasionnent à l’achat ne sera pas toujours amorti par les économies réalisées sur sa facture d’électricité.
Conseil n°2 : Optez pour du matériel performant
Sauf à ce que vos vieux convecteurs électriques n’aient à vos yeux une valeu
Conseil n°2 : Optez pour du matériel performant
lit de mort, par votre arrière-grand-tante, n’ayez aucun scrupule à vous débarrasser de vos appareils obsolètes. Votre banquier pourrait même vous dire merci !Pour vous en convaincre, sachez qu’à lui seul, le poste « chauffage » pèse pour 70% dans le budget énergétique dépensé chaque année par les ménages. Pourquoi ne pas dire bye-bye à vos vieux « grille-pains » (c’est le surnom peu flatteur que les professionnels donnent aux convecteurs électriques « ancienne génération ») et vous doter d’un radiateur à inertie ? Ce type d’appareil a, par exemple, la capacité de diffuser le jour la chaleur qu’il a stockée la nuit. Et accessoirement de vous permettre d’économiser jusqu’à 45% sur votre facture.
Conseil n°3 : Passez au heures creuses
La tarification « heures creuses » permet à ceux qui peuvent s’en prévaloir de réaliser des économies substantielles. Et pour cause, entre
Conseil n°3 : Passez au heures creuses
ié moins (40 % moins cher) qu’en dehors de ces périodes.Faire tourner son lave-linge ou son lave-vaisselle « by night » peut ainsi devenir très intéressant, financièrement parlant. Et pour ce qui est des convecteurs électriques, il suffit de les équiper d’un boîtier programmateur.
Conseil n°4 : Méfiez vous de la veille cachée
À elle seule, la consommation dite « passive » représenterait jusqu’à 11% de la facture électrique annuelle d’un ménage… Pour info, on désigne sous le terme
Conseil n°4 : Méfiez vous de la veille cachée
ls électriques tant qu’on ne les a pas débranchés du secteur. Outre les prises multiples qui permettent de faire d’une pierre plusieurs coups (en clair, de débrancher plusieurs appareils d’un seul geste), de nombreux constructeurs dotent progressivement leurs créations d’interrupteurs internes qui les coupent du secteur au bout d’un certain temps.Conseil n°5 : boostez votre isolation
Si votre maison a tout d’une passoire thermique et qu’elle est équipée d’un syst
Conseil n°5 : boostez votre isolation
lectricité risque fort de ne jamais baisser… D’autant que le chauffage représente les 3/4 de la facture d’énergie domestique (électricité, fioul, gaz, etc.) des ménages. Pour info, cette facture s’élève en moyenne à 3 207 € environ par an.Et pour peu que les travaux d’isolation soient confiés à un artisan qualifié et reconnu « RGE », il vous sera alors possible non seulement d’économiser jusqu’à 30% sur votre facture d’électricité mais aussi de profiter d’aides financières (crédit d’impôt « transition énergétique », TVA à 5,5%, etc.).