Insert ou poêle : pour quel chauffage opter ?



Inserts : quels sont leurs inconvénients ?

Les inserts doivent être régulièrement entretenus, les cendres enlevées du foyer et les vitres nettoyées.

Et l’obligation de les « habiller » (un insert prend place dans une cheminée existante mais une cheminée à foyer fermé nécessite plus de travaux) peut générer un surcoût de main d’œuvre (non pris en compte dans le calcul du crédit d’impôt).

Coté prix, un insert coûte entre 500 et 3 000 € environ (hors pose).

Poêles à bois : quelles sont leurs qualités ?

Outre le crédit d’impôt auquel ils donnent droit, au même titre que les inserts, pour peu que les seuils de rendement exigés soient atteints, les poêles sont disponibles dans une large gamme.

De plus, certains modèles peuvent être améliorés en se voyant adjoindre une masse accumulatrice de chaleur afin d’améliorer l’inertie de l’appareil. En clair, même éteint, il continuera de diffuser de la chaleur.

Pour ce qui est du rendement, les poêles à bois ne sont pas en reste : certains modèles « de masse » affichent des taux de rendement supérieurs à 85%. Et comme dans le cas des inserts, le bois est un combustible particulièrement économique : comptez autour de 0,05 € par kWh.

Côté rangement, stocker des granulés prend moins de place que d’entreposer des bûches dans un endroit sec.

Enfin, les poêles affichent une autonomie allant de 12 heures (dans le cas de bûches densifiées) jusqu’à plus de 72 heures (dans le cas d’un poêle à granulés de bois dont le réservoir est rempli).

Inserts : quels sont leurs avantages ?
Poêles à bois : quels sont leurs défauts ?
 

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